Du 30 octobre au 2 novembre 2025, l’Espace JEELEN ART à Nabeul a accueilli la huitième édition du Festival DOCUMED, consacrée exclusivement au cinéma documentaire méditerranéen. Fidèle à sa mission depuis 2018, le festival a mis en lumière des œuvres qui, à partir de la matière du réel, construisent un regard singulier sur le monde et ouvrent des espaces de réflexion et d’échange.
Cette année, 17 films venus d’Algérie, d’Espagne, d’Égypte, de France, d’Italie, du Liban, du Maroc, de Palestine, de Serbie et de Syrie ont été présentés, offrant un panorama riche et varié sur des thématiques actuelles : migration et exil, parcours de vie, résilience, mémoire, travail et inclusion. Certains films ont particulièrement marqué par leur approche sensible et inventive, qu’il s’agisse de documenter des quotidiens bouleversés, d’explorer des pratiques solidaires ou de mettre en lumière des destins méconnus.
À l’occasion de ce festival, j’ai suivi plusieurs projections et rédigé des articles critiques sur ces films, partageant mes impressions et analyses pour inviter le public à prolonger la réflexion et découvrir la richesse du cinéma documentaire méditerranéen.

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