Du 3 au 19 octobre 2025, la dixième édition de Dream City investit Tunis sous le thème « Fragments d’un monde inachevé : Réflexions en temps d’effondrement lent ». Le festival transforme la capitale en un immense espace artistique avec 56 œuvres présentées par 56 artistes venant de 22 pays, dont 8 Tunisiens. Les expositions, performances, installations, spectacles, ateliers et projections de films se déploient sur 31 lieux emblématiques, principalement dans la Médina, offrant au public une immersion unique dans la création contemporaine et un espace de dialogue interculturel.
Organisé par l’association L’Art Rue, Dream City place cette année la Palestine comme un axe moral central, L’événement affirme ainsi sa volonté de dénoncer les injustices et de créer des espaces de résistance culturelle et humaine.

À l’occasion de ce festival, j’ai rédigé ces articles de critique sur plusieurs films présentés, partageant mes impressions et analyses afin de faire découvrir ces œuvres, tout en ouvrant le débat et en élargissant les horizons du cinéma à l’échelle mondiale.

• Fierté nationale : de Jéricho vers Gaza de Sven Augustijnen – Belgique (2025)